Chichi Of Beverly

Chichi Of Beverly Chihuahua

Chihuahua

Education du Chihuahua



LES PREMIERS JOURS DU CHIHUAHUA A LA MAISON 

 

 



Jusqu'à 3 mois environs, le chiot acquiert les éléments de sa sociabilisassions primaire. 

Elle est majoritairement assurée par sa mère au milieu des frères et sœurs du petit chien. C’est dès l’âge de 3 à 4 mois que la vraie hiérarchisation se structure, l’âge où souvent débutera votre cohabitation avec votre nouveau petit compagnon. 

 

Les deux trois premiers jours devraient suffire à la découverte de la maison et à l’apaisement des craintes nées du grand chambardement que le chiot vient de vivre. Votre petit chihuahua va se remettre à essentiellement dormir, jouer un peu, manger et satisfaire ces besoins naturels. Les règles de bases sont déjà clairement mises en œuvre avec cohérence. Occupé et attentif à limiter les petits accidents vous apprendrez beaucoup à détecter les attitudes du petit animal et leurs changements. Vous vous apercevez combien il faut faire attention à ce chiot encore incapable de rester dans vos pieds sans se faire marcher dessus. L’éducation est déjà concrètement un apprentissage commun. 

 

Ces premiers jours consacrés à rassurer et accueillir votre petit chihuahua, il vient le temps de découvrir le vaste monde (seulement si le rappel des vaccins à été effectué, ce qui est rarement le cas). Les heureux possesseurs de jardin commenceront par lui, les citadins débuteront dans les rues les plus calmes. La progression sera adaptée à l’animal qui, s’il est rassuré, se montrera ouvert et curieux. La réussite de ces expériences conditionne toute la vie du chien ; il est souhaitable qu’il soit, conjointement, le plus possible attentif à ce qui l’entoure et le moins possible craintif face à la nouveauté. 

 

Ces découvertes se font dans le respect de règles qui sont fermes et définitives. 

Les lieux et les actions qui seront interdits à votre chihuahua adulte doivent impérativement l’être au mignon petit nouveau venu. Avec un chiot chihuahua l’interdiction de monter sur un fauteuil ou le lit s’établit d’elle-même. Il faut être cohérent et ne pas le déposer sur un meuble qui lui sera interdit plus tard. Il faut être prudent et ne pas le laisser sans surveillance sur un canapé ; la témérité est dans sa nature et il n’a pas encore l’expérience à jauger les risques.

 





 smiley

 

 REGLES DE BASE DE L’EDUCATION 

 

 

L’apprentissage des règles indispensables à une bonne cohabitation entre le chien et le maître passent par une éducation élémentaire très simple. La méthode, quelle qu’elle soit, se résume en quelques mots : cohérence, jeu, récompense, ne pas réprouver hors contexte et patience. Le chien a besoin de repère clairs pour connaitre ses limites. Le chihuahua se doit de bénéficier d’un minimum d’éducation sans pour autant avoir le bagage d’un chien de travail : il ne saute pas sur les gens, ne gratte pas avec les pattes, répond à des mots-clés, marche correctement en laisse, reste au pied sans laisse. Le chihuahua ne risque guère de se montrer dangereux pour autrui mais des circonstances à risque ne manqueront pas de se présenter à une occasion ou une autre. 

 

La règle de base de l’éducation canine la plus important s’adresse au maitre. Dans la très grande majorité des cas de mauvaise éducation d’un chien, elle puise ses racines dans l’incohérence de son maître. Ce qui est interdit l’est de manière ferme et définitive. L’exception sème la confusion dans l’esprit du chien. Le chien ne comprendra pas ce que vous attendez de lui et inévitablement vous désobéira sans le vouloir et sans le savoir. 

 

Inévitablement le chien ressemblera à son modèle, à son maitre, il présentera ses principaux traits de caractère. Il y a de très forte chance, que si tel n’est pas le cas, la hiérarchie ne soit pas ce qu’elle devrait être.  

 



 

 

 EDUQUER PAR ASSOCIATION 

 

 

Le chien est assurément l’animal domestique le plus facile à éduquer. Le chiot a soif d’apprendre et sur ce point le chihuahua n’est pas en reste. 

 

Clairement établi, et toujours souligné, le point clé qui commande, tout se passera plus facilement qu’il ne peut y paraitre. L’apprentissage d’un chien peut se résumer autour du concept de l’association : 

 

?  Lorsque le chien se comporte correctement, qu’il répond à votre attente, il est récompensé par une flatterie, une caresse, une petite friandise, reçue(s) accompagnée(s) de paroles sur un ton agréable (attention tout de même à ne pas exagérer avec les friandises, il en va de la santé physique du chien). 

 

?  Lorsque le chien se comporte incorrectement, qu’il ne répond pas à votre attente, il est admonesté. La teneur des mots n’a pas la moindre important seul le ton compte. La réprimande peut être accompagnée d’un geste clair, pas menaçant et toujours le même propre à souligner visuellement l’idée. 

 

La réprimande, comme la récompense, doivent impérativement intervenir sur le fait. La main qui caresse ne frappe pas, ni elle, ni l’un de ses prolongements. 

 



 

 

 LA PROPRETE 

 

 

Le premier souci du maitre se situe la ; apprendre la propreté à son petit chien. Les accidents feront certes partie de cette époque mais peuvent être assez bien limités. 

En observant votre chihuahua, vous apprendrez vite à voir quand la chose va se faire, souvent après le repas, au réveil ou après une activité ; le chien renifle le sol en décrivant des cercles avant de se poser. 

 

A deux mois un chiot doit se soulager environs toutes les trois heures, huit fois par jour. Une sortie toutes les trois heures, 24 heures sur 24, pourrait déjà sensiblement limiter les dégâts. Ces sorties seront progressivement et régulièrement espacées. 

Si vous êtes un peu plus souvent absente, le coin alèses (tapis d’éducateur) est une bonne alternative. Le but est d’arriver à ce que votre chien fasse ses besoins sur l’alèse que vous mettez ensuite dehors, pour qu’il comprenne.  

Peu à peu vous déplacerez l’alèse vers la porte, la fréquence de ses besoins baissant régulièrement le problème ne sera plus très loin de la solution. 

Les nuits pourront être un peu allongées en faisant dormir votre chihuahua dans un sac de transport grillagé ou parc confortablement aménagé à son sommeil. Un chiot répugne à se soulager où il dort (sauf s’il y reste trop longtemps). Il pourrait ainsi bien vite vous avertir par des couinements, en se retenant ce qui lui est possible. 

 

En cas d’accident sur la moquette un « non pas la » suffit largement en débarrassant immédiatement les traces du forfait. Evitez de nettoyer en présence du chiot, cela peut l’inciter à croire qu’il attire votre attention et vous fait plaisir. 

Les mesures de correction brutales, sont sans autres effets que la déstabilisation du chiot et la multiplication des accidents d’un chien vite terrorisé. Les besoins effectués dehors dans un carrée d’herbe seront fêtés démonstrativement. La plus de doute que votre chihuahua va très vite comprendre ce que vous attendez de lui et les derniers immanquables accidents ne manqueront pas de le rendre tout penaud. Rapidement votre chien sera propre, si ce n’est pas le cas en une semaine, deux au maximum, l’aide d’un comportementaliste pourrait bien commencer à être utile. 

 



 



APPRENDRE A SON CHIHUAHUA A RESTER SEUL 

 

 

Apprendre à rester seul est plus difficile avec un chien de compagnie aussi typé à cette activité qu’un chihuahua. Même si ce n’est pas une fin en soit, il faut pourtant habituer très rapidement votre chiot à rester seul. 

On lui parle sur un ton rassurant mais sobre et, si possible, dénué de toute trace de culpabilité, on l’invite à se coucher à sa place. Aux premiers essais vous resterez derrière la porte. Aux premiers gémissements, lancez-lui un « non » ferme à travers la porte. Surtout ne rentrez pas car le chien croira vous avoir ramené par ses gémissements et là tout se compliquera singulièrement. Le chien calmé, vous rentrerez et vous comporterez comme si vous n’aviez jamais quitté la maison. Le féliciter alors de son calme le conforterait dans l’idée de l’aventure était risquée. Une invitation au jeu pourrait, elle, le réjouir de ses retours ludiques jusqu’à en arriver peut-être qu’il se languisse d’un prochain départ mais ne rêvons pas trop.  

 



 

 LA PLACE DU CHIEN DANS LA FAMILLE 

 

 

Au sein de la meute, un chien occupe une place précise qui lui est dictée précisément par son âge, son sexe, son caractère, son expérience et sa force. 

Pour être accepté par le groupe, il doit se soumettre à certaines règles. 

 

Pour le maitre la seule règle est sa devise : « c’est moi le chef ». 

Il ne reste qu’à le démontrer à votre chihuahua. La prise des initiatives et la force sont parmi les traits principaux d’un chef aux yeux d’un chien ; la force ne se manifeste pas à battre ses subordonnés mais à faire face à l’adversité ou la concurrence, à ne pas reculer face à l’inconnu. 

 

La constance dans les exigences assoira le statut du chef. Une erreur classique consiste à laisser le chien devenir doucement votre égal, une situation utopique dans le monde canin où seules deux alternatives existent : dominer ou se soumettre. Aller à l’encontre de cette loi ancestrale et vous irez dans le mur : les conséquences seront désastreuses pour vous-même et pour l’animal qui vous dominera en étant incapable d’assumer la charge. N’oubliez jamais que c’est vous, et vous seul, qui êtes le chef de la meute, montrez-le, assumez-le.  



 

 

 ERREUR A EVITER 

 

 

On l’a déjà écrit, on ne le répétera jamais assez, la réprimande différée déstabilise le chien en profondeur. Votre chihuahua comprendra bien que vous êtes fâché contre lui et réagira en conséquence en se mettant en position de soumission, en essayant de se cacher de vos foudres. Même si le report de la réprimande n’est que de quelques minutes, le chien ne pourra plus faire la relation avec l’acte incriminé et en sera foncièrement perturbé. La seule manière d’agir constructive en la matière n’est autre qu’action-réaction. 

Une autre erreur est liée à la réprimande, elle consiste à appeler le chien pour le gronder. Cette démarche est la garantie que votre chien va très rapidement éviter de répondre au rappel. Il jouera alors les distraits ou les sourds avec talent. 

 

Une erreur lourde de conséquence est l’inconstance des ordres. Une décision prise, une option choisie l’est définitivement. Il n’y a que les imbéciles qui ne change pas d’avis ne fait pas partie de la philosophie canine beaucoup moins sophistiquée que celle des hommes. 

Il est aussi important que tous les dominants du chien, tous les membres de la meute (famille), parlent d’une même voix. Une interdiction ou un ordre en contradiction avec ce qu’un autre membre a appris ou ordonné sera interprété comme une scission : le chien choisira son camp, sa meute, et s’investira à la défendre pour plaire à son chef. Inutile d’insister sur les soucis que la situation va engendrer. 

 

Il y a une erreur à laquelle peu de gens pensent avant d’y être confronté, c’est la négligence d’éduquer le chien à être manipuler et examiné. Le chien n’a qu’à se sentir en confiance à être touché pour que tout ce passe bien, il a naturellement peur de ce qu’il ne connait pas. Cet acquis peut être inculqué à l’occasion des soins de bas ou de jeux débridés. En cas de maladie, d’accident, de soins ou de simple contrôle vous aurez moins de difficultés, votre vétérinaire appréciera de travailler facilement et vous ressentirez un soupçon de fierté : oui il est éduqué. 

 

 

 

 EDUCATION DU MAITRE 

 

Le maître ne perturbe pas le sommeil du chiot 

Le maître limite la distance des promenades du chiot 

Le maître ne laisse pas sauter le chien, squelette fragile, dans les escaliers 

Le maître ne lave pas le chien avec un shampooing pour humains 

Le maître ne change pas fréquemment l’alimentation du chien 

Le maître prive le chien de chocolat et d’oignon qui lui sont toxiques 

Le maître ne nourrit pas le chien avant et après un effort violent 

Le maître ne nourrit pas le chien sur sa demande 

Le maître ne laisse pas le chien dans une voiture en plein soleil 

Le maître ne laisse pas trop longtemps le chien seul à la maison 

Le maître ne laisse pas les enfants sans surveillance avec le chien 

Le maître ne laisse pas le chien se coucher près ou dans les accès principaux 

Le maître n’enjambe pas le chien pour ne pas le déranger 

Le maître n’accepte pas d’être promené par le chien (il ne doit pas tirer sur la laisse) 

Le maître marche et passe en tête, le maître prend toutes les initiatives 

En promenade, le maître interdit au chien de défier une autre meute en grognant 

Le maître est constant et ne donne pas des ordres contradictoires 

Le maître ne réprimande pas une faute commise en son absence 

Le maître ne met pas le nez du chien dedans, il nettoie en l’absence du chien 

Le maître ne corrige pas physiquement (prendre un journal, chaussure ou autres) 

Le maître ne porte pas sans cesse son chien dans les bras (sauf en cas de dangers) LES DEGATS  

 

 

Tous les chiots, ou presque, commettent des dégâts. Ronger portes, meubles, livres et tous autres objets à la portée de ses dents est strictement interdit et sera fermement répété et ponctué d’un « non » souligné d’un œil réprobateur. Il ne faut pas lui donner une vieille pantoufle à mordiller, il sera absolument incapable de faire la différence avec la paire neuve de Madame. Les périodes d’absence seront propices à ce genre de dégâts motivés, pour une part, par l’anxiété. L’utilité du jouet ou de l’os en peau de bœuf est bien là car le chiot a besoin de ronger pour la bonne santé de ses dents, la perte des dents de lait, la musculation de la mâchoire.  

Surpris à ronger, grondez et remplacez l’objet du délit par un jouet ou un de ces os. Une caresse encourageante soulignée d’un œil souriant confortera le chiot dans l’idée que ronger son jouet ou son os est bien perçu et vous fait plaisir.  

 

 



 

 

LES MAUVAISES HABITUDES 

 

 

Vous allez vite sentir quand votre chien en prépare une ; donnez-lui un ordre quelconque. Le but est de détourner son attention de ce qu’il allait faire. Limiter les occasions de faire des bêtises en limitera le nombre. Le jeu est un excellent moyen, le meilleur peut-être, de limiter les occasions de faire des bêtises. 

 

Le chien mordille une chaussure, un coussin ou un objet. Inutile de le grondez et surtout, ne le frappez pas. Agissez en chien : grognez, grondez et frappez l’objet en question. Cette façon fonctionne presque infailliblement. Vous pouvez aussi, moins efficace, le gicler discrètement avec un pulvérisateur de façon à ce qu’il croie que c’est l’objet mordu qui se défend ainsi. 

 

Le chien mordille la main en jouant. Il essaye de vous dominer. Le « non » sec doit être immédiatement. Ensuite, dans le cadre du jeu, roulez-le sur le dos et caressez-lui le ventre ou poser votre main sur sa tête. Ces marques claires de domination seront sans équivoque pour votre chien. Il vous démontrera son bon équilibre dans quelque temps, à tenter de prendre l’initiative, c’est le jeu. 

 

Le chien course les cyclistes, joggeurs, chevaux, etc… Une sale manie, très dangereuse pour un chihuahua, à éliminer le plus rapidement possible. En laisse habituez-le, petit à petit, à s’asseoir, comme un automatisme, lorsque survient l’un de ces événements. La tentation passée n’oubliez pas de le féliciter. 

 

Le chien mange n’importe quoi dehors. Là aussi, il faut réagir vite, le danger est concret. Dès que vous voyez votre chihuahua fouiner autour d’un os, de pain ou de viande avariés et autres qui pourraient l’empoisonner, ordonnez très fermement « non ». Si l’ordre reste vain : promenez-vous avec un trousseau de clés et, à la moindre alerte, sans que le chien ne voie d’où cela vient, lancez le trousseau juste à côté de lui. Le bruit devrait l’effrayer et il devrait associer manger dehors avec gros bruit inquiétant. 

 

Le chien tire sur la laisse, rien de bien dramatique avec un chihuahua : 2 ou 3 kilos lancés à plein vitesses sur 2 mètres ne vont pas vous déboiter l’épaule. Ne tolérez pas cela même si le danger est pour le moins minime, ce sera très vite profondément exaspérant. Dès que le chien tire, un petit coup sec (il vaut mieux l’équiper d’un harnais pour l’apprentissage) sur la laisse en ordonnant « au pied », corrigera très vite le défaut.  





 

 

Le chien aboie sans cesse. Le seul cas de figure où il faut en venir aux mains. 

Quand il aboie, mettre votre index sous le menton du chien d’une façon sèche suffit.  

Cela devrait assez le surprendre pour l’interloquer au point de stopper ses aboiements. Attention, il ne doit pas remarquer que cette pseudo agression est venue de la main qui caresse. Pour l’aboyeur impénitent il ne restera que le collier aboi-stop qui lui giclera de l’essence de citronnelle à chaque aboi intempestif. 

N’utilisez qu’en dernier ressort ce procédé aux relents de torture. 

 

Le chien fait des bêtises seul à la maison. Seul, 20 minutes ou 4 heures, il n’a pas la notion du temps, le chien n’a plus la sécurité de la meute. Ses bêtises sont l’expression de son anxiété. Organisez de faux départs et ne le nourrissez pas dans la demi-heure qui précède un départ, le stress perturbera sa digestion et ajoutera un malaise physique à son malaise moral. Partez sans effusion, revenez normalement. Des pamoisons au retour convaincront votre chihuahua qu’il a bel et bien cour un grand danger. Ignorez les bêtises faites et soyez naturel ; difficile mais nécessaire au risque d’en découvrir plus encore la prochaine fois. 

La réprimande d’une bêtise, comme les félicitations, doit être immédiate. Avec une réprimande ou des félicitations différées, le chien ne pourra pas faire la relation avec l’acte ou la fera avec un autre. Il sera vite complément perdu. 

 

En balade, le chien s’éloigne et vous oublie. Prenez l’habitude de l’appeler de temps à autre pour vous rappeler à son bon souvenir. Un sifflement particulier augmente la distance d’influence.  

Pendant la promenade, changer de direction ou faites demi-tour sans crier gare. S’il n’a rien remarqué, caché, appelez-le une fois. Se croyant perdu, il va s’inquiéter. Après quelques exercices de ce type, il y a fort à parier qu’il aura toujours un œil sur vous. 

 

Le chien broute de l’herbe. Laissez-le faire, si c’est une habitude, c’est juste qu’il aime l’amertume de l’herbe. Il ne s’agit pas d’une mauvaise alimentation à défaut d’en être une bonne. Il faut juste veiller que l’herbe ne soit pas mouillée par de la pluie ou de la rosée, par exemple. 

 

 

EDUCATION DU CHIOT 

 

Le chiot n’est pas autorisé à se rendre dans toutes les pièces 

Le chiot ne dort pas sur le lit 

Le chiot ne mordille pas ce qui n’est pas son jouet 

Le chiot obéit 

Le chiot ne montre pas les dents 

Le chiot mange en dernier quand tout le monde à fin 

Le chiot n’aboie pas sans cesse, sans raisons 

 

 



 



 

EDUCATION DES ENFANTS 

 

L’enfant ne dérange pas le chien qui dort ou qui mange.

L’enfant ne défie pas le chien, il ne le fixe pas du regard.

L’enfant ne se précipite pas vers le chien, ni le quitte en courant 

L’enfant ne martyrise pas le chien